Je trouve que l'article est sympathique mais effectivement ręducteur. En mm tps, logique sinon faut faire un mémoire... donc on va pas pinailler.
Je pense que ce sont des traits que l'on peut effectivement renforcer, le par-coeur et la réflexion, utilisés par chaque cheval à un moment, et que notre rôle est de savoir à quel moment lui proposer de fonctionner sur ce mode ou sur l'autre.
Je tente un exemplle. Airosa, la juju que j'ai bossée pdt qques jours, était totalement perdue et montait en panique dès le moindre petit évènement tellement elle était en perte de repères. Typiquement le cheval qui réfléchit et qu'on n'a pas laissé réfléchir, ni dont on a tenu compte de sa sensibilité, donc qu'on a rendu fou, donc estimé sdangereux.
Je l'ai donc bossée tranquillement sur divers trucs, en recherchant la réflexion, pour qu'elle prenne ses repères et identifie l'absence de danger. Le temps de réflexion a été respeecté ttes les fois où il y en a eu besoin, rapidement la juju est descendue en pression et a commencé à devenir participante et a appris très vite.
A partir de là, j'ai pu alterner les moments "par coeur" où elle était sur le mode "je fonctionne comme on a appris", ce qui permet d'être en très basse pression et d'ancrer positivement et tranquillement les "bons"fonctionnements, et les moments "réflexion" où on a abordé des nouveautés.
Donc pr terminer là-dessus, le cheval sera par personnalité effectivement plus confortable ds l'un ou l'autre, mais je pense qu'il nous faut à nous éducateurs et partenaires savoir travailler sur les deux modes pour les développer tous les deux car nous avons là deux "outils pédagogiques" hyper importants.
Perso, j'encourage Volute à développer les deux pr m'y appuyer dessus au moment clé où j'en ai besoin.
_________________