mais concernant les pieds par exemple, même si il est capable de donner ses pieds relativement longtemps, il réclame quand même des pauses régulières ou reprend son pied de lui même.Oui le mien aussi.
Mais ils ressentent peut-être une gêne, une crampe ou un inconfort qui les y amène. Et cela est indépendant du dressage.
Un trait de personnalité est +/- stable dans le temps, mais plus on vieillit, plus il devient stable et donc plus il devient difficile de le changer (et peut être impossible ?).Oui c'est ce que je croyais. Mais le mien s'est subitement réveillé, super en avant, à 14 ans alors je sais pas vraiment pourquoi.
Une cure de mninéraux/ vitamines oligo-éléments ? (il est devenu très vif après 3 mois de cure)
le 3è passage de l'ostéo ? (ça faisait des mois qu'il était coincé, plus ou moins mais je le sentais pas "libre") --> donc la joie de se retrouver libéré ?
Ou bien la cure de chondroïtine-glucosamine (mais là, ça serait fort, genre le cheval se révzeillé dès le début - mois d'1 semaine - de la cure)
Bref tout ça ne réussit pas à expliquer le changement. Pas seulement un changement mental (il est bcp plus en avant, vif, impulsionné, que ce soit à pied, en "intérieur" ou en extérieur. ) Ya aussi un truc physique qui s'est débloqué.
Par ex mon cheval est un bon sprinter et démarre comme un boulet de canon puis il ralentit. (et se fait dépasser, lol) Et si le galop dure trop longtemps (on sort avec des chevaux plus fins, islandais, croisé epsagnol... plus endurants que lui et plus rapides. Moins lourds en tt cas. Alors que mon Gros est un mini cheval de trait, 1m44 de boudin) il repasse au trot, essouflé, et ratrappe ainsi, à son rythme.
Depuis son mystérieux "réveil" il ne reste pas plus en tête qu'avant mais continue à suivre les autres, au galop, sans se laisser distancer. Des fois il repasse au trot quelques foulées, reprend son souffle, puis les ratrappe comme une fusée, j'en reviens pas !
Alors que depuis sa naissance (d'après le naisseur, le débourreur, sa cavalière attitrée quand il; était petit... Et les 10 ans qu'on a passé ensemble) ça a toujours été un pépère tranquille. Avec le frein plus facile que l'accélérateur (bon on travallait là-dessus, tout le temps, mais j'en avais pris mon parti)
Et c'est pas corrélé à la graisse : ya eu des années où il était en muscles, entrainé très régulièrement, d'autrres où il a été vraiment "fit" je sentais les côtes (bon pas très souvent je l'avoue) d'autres où il a été bien en chair, parfois presque obèse, il n'a jamais changé de caractère pour autant.
Dans les situations de stress il lui venait des ressources insoupçonnées : randonnées organisées, rencontre de nouveau chevaux inconnus pour une balade... Là il était plus vif et endurant à la fatigue que d'habitude. Maintenant qu'il est quotidiennement "vif et endurant" je découvre le déplaisir d'être sur un étalon noir paiffant pendant des heures dans ces situtations-là, les yeux lançant des éclairs et les naseaux comme des soufflets de forge. C'est la face cachée de l'impulsion lol !
Ce que je trouve intéressant dans ce que tu dis Elodie, c'est que Naka a effectivement changé à pied mais aussi ensuite seul, au champs. C'est pas un changement de fonds, mais le mien, après avoir appris les déplacements latéraux, en faisait le long des barrières quand le mouvement était opportun (pas par plaisir, mais il n'en faisait jamais de lui-même, il se retournait et partait, ou reculait) mais après que je lui ai enseigné je l'ai vu plusieurs fois se pousser de la sorte